Archives mensuelles : novembre 2014

Remerciements pour la remise de la médaille de
chevalier du mérite agricole, 18 novembre 2014

Remise de la medaille du mérite agricole, Jacques Olivier

Remise de la medaille du mérite agricole, Jacques Olivier

Monsieur le président, Mmes, Mrs,

C’est avec un grand plaisir que je reçois aujourd’hui cette décoration.
C’est un honneur d’être reconnu par  le ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la forêt et d’être ainsi récompensé.

Je voudrais remercier l’AMOMA, à travers son Président, qui a proposé ma nomination.

L’an dernier je remettais sa médaille à notre ami René Leydier et aujourd’hui c’est à moi que l’on décerne cette médaille.

Je voudrais aussi remercier Nicette Aubert pour son discours en forme d’éloge.
Que de louanges !
En fait on devrait recevoir une médaille régulièrement pour s’entendre dire du bien de soi…

Lorsque Jules Méline devint ministre de l’agriculture, un de ses premiers actes fut la création d’une distinction spécifique, le mérite agricole, pour récompenser les services rendus à l’agriculture. Ce fut le décret du 7 juillet 1883.
Plus tard, le 5 novembre 1894, il créera les sociétés locales de crédit agricole devenu le Crédit Agricole … qui a tenu une place important dans ma vie… et Méline fait partie de mes souvenir de formation.

Je suis effectivement issu du monde agricole, d’abord avignonnais puis thorois.
Mon grand-père et mon père étaient chacun très engagé dans l’agriculture.
Sur la plaque de son camion, un Renault, était inscrit « cultivateur ».

Souvenir aussi de ma grand-mère et mon grand-père maternels, venus du Piémont et de berger devenu viticulteur.

Quand j’ai reçu mon diplôme, j’ai constaté qu’au fil du temps, il était de plus en plus petit : celui de mon grand-père était grand, très décoré, (il était encadré dans la salle à manger) celui de mon père, moitié plus petit et celui que je reçois encore plus petit.
C’est un peu comme le poids de l’agriculture dans la société française et dans notre région. Et pourtant l’agriculture c’est la base de toute société : manger est essentiel. Etre paysan est un beau métier, défendre l’agriculture une nécessité.

Mon histoire, mes convictions m’ont amené à défendre une agriculture économiquement viable, socialement juste et productrice d’un environnement de qualité,…. plus particulièrement l’AB et ce de façon volontariste… et contre les OGM de façon toute aussi volontariste.

C’est une politique que j’ai défendu, ici même, dans cet amphithéâtre de la Chambre d’agriculture de Vaucluse lorsque j’étais représentant salarié au titre de Solidaires,
Puis en tant que politique, à la Région, soutenu par Nicette Aubert que je remercie encore, et enfin dans mon mandat de maire du Thor.

C’est une politique que je continue de défendre à la Région dans le cadre des discussions sur la PAC et le FEADER. Ça avance… bien que je craigne que ce soit la nécessité qui fasse loi.
Je finirais en remerciant bien sur Danielle, ma femme.
Elle n’est pas issue du monde agricole. Depuis 37 ans, elle a appris à le connaitre.
Comme nous le savons ici, on ne peut pas être militant comme je le suis depuis si longtemps sans avoir le soutien de son conjoint.
Parfois elle en a marre, et elle le dit… mais parfois c’est elle qui me pousse !
Merci donc à elle…

Et merci à vous tous pour cette belle cérémonie.

Discours de Nicette Aubert, ancienne Vice-Présidente de la Région Provence Alpes Côte d’Azur, à l’occasion de la remise de la médaille du Mérite Agricole à Jacques OLIVIER

Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, mon cher Jacques.
Nous sommes réunis aujourd’hui de manière quelque peu solennelle pour honorer et décorer du Mérite agricole Jacques Olivier, mon ami Jacques.
Ainsi Jacques après ton grand-père François Olivier, après ton père ou plutôt « le père » comme tu le dis, tu vas entrer dans cet ordre du Mérite agricole.
Ordre crée en 1883 pour honorer les « personnes ayant rendu des services marquant à l’agriculture ».Il me plait à dire que dès 1884, 2 femmes reçurent cette nouvelle décoration, Marie Anne Thomas et Cora Millet.
Comme il me plait à dire que lorsque en 1963 le Général de Gaulle met de l’ordre dans « le bazar » selon ses propres termes, des ordres spécialisés, aux côtés des Arts et des Lettres, de l’enseignement, la mer, il conserve celui de l’agriculture. C’est dire la place que tient l’agriculture dans ce qui fait l’identité nationale.
Je suis d’autant plus heureuse d’être là qu’avec toi Jacques nous partageons bien des points communs.
D’abord celui, d’être toi le fils, moi la fille d’agriculteurs, d’avoir tous deux partagés le travail de la terre, d’avoir connu dans notre jeunesse, « une année bonne, l’autre non », de savoir que ce sont les femmes et les hommes qui par leur travail créent les richesses.
Ensuite d’avoir en commun cet engagement avec le monde agricole, un engagement sans flatterie, démagogie où le rapport au monde politique ne se réduit pas à des marchandages.
Ton engagement est fondé sur 3 principes : celui du respect de la dignité des femmes et des hommes, celui de la reconnaissance de leur travail, celui de considérer le monde agricole comme une des composantes essentielle de la société. A ce titre je veux souligner combien tu as participé à « ce que la question paysanne » et son avenir deviennent de vraies questions qui interroge au présent et pour demain l’ensemble de la société.
Enfin d’avoir en commun travaillé à la construction d’une nouvelle politique agricole au niveau régional.
Une politique fondée sur la mise en œuvre d’une vision nouvelle.
Je dois à la vérité, de te dire Jacques, combien alors que j’étais vice-présidente du Conseil régional, chargée de l’agriculture et de la forêt, ton arrivée comme président de la commission fut pour moi, un véritable bol d’air, toi qui venait avec toute ton expérience de la vie associative, tes engagements entre autre contre les OGM, toi porteur des questions d’énergie, de dimensions environnementales.
Toi Jacques avec ton engagement syndical, vrai, sincère, qui t’a conduit à participer à la création et à la vie de SUD.CAM avec une double responsabilité celle de la commission « banque finances » et celle des relations avec la Confédération paysanne ; engagement syndical qui aussi t’a valu d’être membre de la Chambre d’agriculture et de la MSA.
Toi Jacques avec ton engagement dans la vie politique, où dans ton mandat de Maire du Thor tu as porté des idées de progrès, de solidarité et posé des actes forts comme celui de Commune sans OGM.
Ainsi avec nos expériences, nos analyses, nous visions à avancer dans la voie d’une politique agricole répondant mieux aux besoins du moment, des exigences d’avenir.
Depuis longtemps je m’interroge sur les réponses à apporter à l’analyse et aux propos de Karl Marx : » Chaque progrès dans l’agriculture capitaliste est un progrès non seulement dans l’art d’exploiter le travailleur, mais encore de dépouiller le sol. Chaque progrès dans l’art d’accroître sa fertilité pour un temps, un progrès dans la ruine de ses sources durables de fertilité »
Toi, tu reprenais le questionnement avec Pierre Rabhi «  ne pouvant produire sans épuiser, détruire et polluer, le modèle dominant contient en fait les germes de sa propre destruction et nécessite d’urgence des alternatives fondées sur la dynamique du vivant ».
Ensemble nous avons travaillé, nous avons rencontré les femmes et les hommes qui font l’agriculture aujourd’hui, nous avons échangé autour de cette question de civilisation qu’ils vivent au quotidien.
Nous l’avons fait avec la volonté de construire en commun, non pas dans un consensus mou ou en imposant, mais avec l’idée que les différences d’approches ne sont pas des obstacles à condition de les assumer dans un projet commun porteur de l’intérêt général.
Là encore ton expérience, ta loyauté, ton sens du bien commun nous ont permis d’avancer.
Et je voudrai souligner comment la dimension du travail humain et son rapport à l’environnement a été prise en compte, en refusant l’opposition agriculture, préservation de l’environnement pour mettre en œuvre au niveau régional une agriculture productrice d’un environnement de qualité au travers de pratiques alternatives.
Loyal, inventif et disponible pour les autres ainsi est Jacques Olivier. Je n’aurai garde d’oublier une de ses qualités majeures, celle de son appétit, de sa gourmandise à vivre.
Il illustre parfaitement ce que Giono disait de la vie : « la vie de l’homme est une chasse au bonheur. Parmi ces bonheurs, l’exercice de la gourmandise est un des plus importants ».
Alors en terminant, je veux dire à Danièle, à ses enfants, et peut être encore plus à ses petits enfants, Oscar, Lisa, Dante combien ils peuvent être fier de Jacques Olivier, lui dont la mère était venue de ces vallées du Piémont italien et qui comme tant d’immigrés ont apporté toute leur force de travail, leur intelligence, leur humanité enrichissant ainsi notre patrimoine national.

AU NOM DU MINISTRE DE L’AGRICULTURE, DE L’AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT NOUS VOUS FAISONS CHEVALIER DU MERITE AGRICOLE.

Intervention à l’occasion du Débat d’Orientation Budgétaire en Conseil Municipal du Thor, le 18 novembre 2014

Je commencerai en rappelant qu’en mars dernier vous avez récupéré une municipalité qui a réussi tout ce que vous dites, contrairement à la situation laissée par vos amis et que nous avons hérité en 2008. Vous avez hérité d’une situation budgétaire et financière excellente : un endettement faible, une capacité d’autofinancement importante, des taux d’imposition dans la moyenne de la strate, une trésorerie très importante. Et cela malgré un environnement économique peu favorable puisqu’à l’automne 2008 éclatait la crise économique.
Ce n’était pas le cas à notre arrivée en 2008 où la situation était très dégradé au point que nous avons vu arriver les services de l’Etat nous demandant ce que nous comptions faire pour redresser la situation sous peine de se retrouver sous tutelle.

Aujourd’hui pour votre premier budget, et donc votre premier DOB, vous semblez découvrir la réalité de la conduite d’une mairie : oui  des lois et des  règles encadrent le fonctionnement des collectivités territoriales, oui les fonctionnaires ont un statut.

Du coup, vous enfoncez un grand nombre de portes ouvertes et pour vous, rien ne va et vous vous en plaignez  : les agents coûtent trop cher, le statut des agents n’est plus adapté, l’État réduit les dotations, il y a trop d’impôts, c’est dur de maîtriser les dépenses de fonctionnement, la réforme des rythmes scolaires est une dépense supplémentaire, il va falloir supporter 2 élections, le prix de l’énergie ne cesse d’augmenter, on nous oblige de faire du logement social sinon on paie des pénalités, etc.
Toutes choses bien connues et dont il faut faire avec…même si chacun peut participer à les améliorer dans les instances adéquates.

Ainsi donc les pouvoirs publics incitent les collectivités locales à s’ajuster, par la baisse de leurs dépenses de fonctionnement. Mais pas seulement. Il y a plusieurs moyens :
Il y a l’impôt, qui pour moi n’est pas un gros mot : au contraire c’est un instrument de redistribution des richesses dans l’intérêt général, notamment des plus forts vers les plus faibles.
Il est aujourd’hui de bon ton de dire que notre pays souffre d’un poids excessif de la fiscalité. C’est purement idéologique. Dire que la fiscalité est injuste serait plus juste.
Qui paye les hôpitaux, la police, l’armée, l’éducation, les prestations sociales ?… que les Français ne souhaitent pas voir diminuer… si ce n’est l’autorité publique ? …par l’impôt.

On peut aussi se désendetter : l’Etat, la Cour des comptes le recommande fortement. Au moins une commune est endettée, au moins la commune paye d’intérêts et au plus elle a de l’autofinancement.
D’autres instruments existent : par exemple  la mutualisation des services au travers de notre intercommunalité ou de Syndicats intercommunaux.

Contrairement à votre affirmation, notre commune possède des taux de taxe d’habitation et foncière qui n’ont rien d’extraordinaires. Ils sont dans la moyenne des communes de la même taille.
Puisque plus loin vous faites la comparaison avec l’Isle sur la sorgue, faites la aussi pour les taux et les bases d’imposition. Tous les nouveaux habitants du Thor qui viennent de l’Isle savent ce qu’il en est : au Thor, les impôts ne sont pas chers ; c’est d’ailleurs en grande partie pour cela qu’ils viennent au Thor.

Ainsi vous découvrez que la maîtrise des dépenses de fonctionnement est plus ardue que prévu, (tiens donc).

Vous regrettez donc le statut protecteur de la fonction publique qui vous empêche de faire votre propre politique du personnel. Si les agents coutent trop chers : il faut le leur dire.
Vous dénoncez l’absentéisme en le qualifiant de fléau, tel une plaie dévastant les finances publiques. En tenant de tel propos, je déduis qu’il a dû y avoir en quelques mois, depuis votre arrivée, un nombre considérable d’absences des agents municipaux. Votre gestion du personnel aurait-elle des failles ? Auriez-vous trop promis aux agents que vous ne pouvez et ne pourrez tenir ? J’attends que vous disiez aux Thorois comment vous comptez enrayer ce fléau.

Vous dites que le recrutement d’un informaticien à compter du 1er novembre 2014, est quasiment neutre financièrement, sa rémunération se substituant au coût des prestations de la société de service informatique précédemment utilisée. Je suis surpris, car, voyez-vous, pendant mon mandat, j’ai fait étudier cette question du recrutement d’un responsable informatique. Cela revenait plus cher à la collectivité. Peut-être avez-vous trouvé quelqu’un qui accepte de ne pas être payé !

Dire que l’informatisation des services communaux connaît un retard considérable montre que vous n’avez pas connu la situation antérieure.
La modernisation des outils informatiques s’est faite à un rythme permettant son appropriation par l’ensemble des agents. Rappelons que les agents, avant 2008, n’étaient pas formés et travaillaient tous à l’ancienne. De grandes transformations ont été réalisées, des systèmes de fonctionnement en réseau ont été développés et le renouvellement du parc informatique s’est fait en veillant à maîtriser les dépenses et en adaptant l’outil aux besoins réels. Je rappelle que des investissements importants ont été votés pour les écoles, Le Thor ayant fait le choix d’équiper chaque classe pour faciliter l’accès des enfants à l’outil informatique, ce que beaucoup de communes n’ont pas mis en place. De très nombreux chantiers informatiques étaient en cours que vous vous contentez de reprendre.
J’attends de voir vos résultats.

Concernant les logements sociaux, heureusement qu’avec mon équipe, j’ai mis en place un plan en autorisant la construction de plus de 100 logements sociaux, rattrapant ainsi  l’inaction de vos amis au cours des 20 années précédentes.
C’est notre action, entre 2008 et 2014, qui permet aujourd’hui à la collectivité de payer moins de pénalités. Et c’est aussi notre action, dans le cadre d’une politique foncière dynamique, en partenariat avec l’Etablissement public foncier régional, qui a permis que le montant de la pénalité soit utilisé pour acheter du foncier destiné à la construction de logements sociaux.

Le résultat de cette politique sociale, claire et assumée, c’est que les Thorois ne paieront en 2015 que 90 000 euros au lieu des 450 000 euros qui nous auraient été demandés.
Je voudrais rappeler ici, devant cette assemblée, que les Thorois auraient pu économiser 10 800 euros de plus :
1. si l’OPHLM Avignon chargé de construire des logements, chemin des Estourans, n’avait pas été escroqué par l’entreprise attributaire,
2. si une procédure initiée par M. Rochette n’avait pas bloqué pendant un an le projet de Mistral Habitat, quartier Grange vieille.
J’attends là aussi que vous fassiez connaître aux Thorois votre plan en faveur du logement social.

Concernant les associations, vous dites que les subventions aux associations seront globalement maintenues, ce qui veut dire pas pour toutes les associations. Quelles sont les associations qui verront leur subvention réduite ou supprimée ?

Je voudrais dire que je regrette profondément que vous ayez mis fin au très beau partenariat que nous avions établi entre la commune du Thor et la Fondation Abbé Pierre en accueillant, ici, au Thor, le Festival « C’est pas du luxe ». Cette manifestation, comme d’autres que nous avions accueillies, constituait une vitrine nationale, voire européenne, exceptionnelle. Le repli sur soi n’est pas une politique d’avenir.

Concernant le CCAS,  la diminution de 50 000 euros de la subvention aura des répercussions importantes : quelles conséquences pour les agents ? Et pour le service aux plus démunis ? Hier soir nous n’avons pas eu de réponse claire.
Vous nous avez répété qu’il faut lutter contre l’absentéisme du personnel. Cela ne nous fera que revenir à la situation de l’an dernier. Alors, où se feront les économies ?
Sachant que les frais de personnel représentent 92 % du budget, c’est bien sur le personnel qui en fera les frais et par ricochet les services à nos concitoyens.

Sur la partie Fonctionnement, en résumé, le personnel va voir sa situation s’aggraver, vous ne renouvellerez pas les départs à la retraite, les thorois vont devoir payer plus cher les services municipaux. Vous n’allez pas dépenser plus d’argent pour mieux nourrir nos enfants avec une alimentation sans pesticide. (Le bio, ça suffit !) Et je note aussi que vous attendez des miracles de l’informatique.

Concernant la Communauté de commune, vous la concevez comme étant au service des seuls intérêts du Thor, au lieu d’être un lieu de solidarité intercommunale.

En conclusion de cette première partie, nous nous opposons à votre choix qui consiste à dire : on fait casquer tout le monde et on vire les pauvres. C’est ce que vous écrivez dans votre document : « Un meilleur ajustement des prix permettra de mieux valoriser les prestations de la commune, d’augmenter marginalement nos recettes et de réguler une demande parfois trop forte (loisirs jeunes notamment) ». Au moins c’est clair, les Thorois devront être informés.

Concernant l’investissement, il ressort de votre texte, notamment l’annexe qui est un vrai morceau d’anthologie, que vous voulez améliorer les délais de réalisation. Cela veut-il dire que vous vous passerez d’appel d’offre, d’études et de concertation avec les Thorois ?

Vous voulez aussi augmenter le montant des investissements. Mais comment ?
Vous faites le choix d’endetter fortement la commune, alors que l’Etat demande aussi que les Collectivités territoriales se désendettent.
Pour 2015, on verra bien si vous dépassez 2 M€.
Sur l’ensemble de la  mandature, vous proposez 10 M d’euros ce qui ne fait jamais que 1,666 666 euro par an, soit moins que les deux mandats précédents.

Les moyens que vous annoncez sont donc en contradiction avec ce que vous prétendez faire. Quand ils ne sont pas fantaisistes.
Par exemple, vous voulez supprimer les doublons. Qui fait doublon ?
Vous voulez éliminer les gaspillages. Pour l’information des Thorois, vous voudrez bien énumérer où se situent les gaspillages, s’il vous plaît.
Et enfin, pouvez-vous en dire plus sur les dépenses inutiles ?  Un nouveau logo par exemple ?

Pour finir, Monsieur le maire, en quelle année ont eu lieu les 3 dernières élections municipales ?  En 2014, en 2008 et en 2001 et non pas 2002.
Si vous oubliez une année de mandat pour faire vos calculs, comment y croire ?

Je constate aussi qu’il y a eu une commission des finances au CCAS, il n’y a plus de commissions des finances en mairie, même pour le DOB. C’est totalement anormal.

Oui, en conclusion, au Thor, les plus démunis et les agents vont payer votre politique et vous allez endetter Le Thor.

Il s’agit bien là d’orientations clairement anti sociales.